Nos Fouets & Martinets

A la découverte du fouet et martinet BDSM 

Ce sont des objets devenus érotiques grâce à la culture BDSM.

Ces instruments de punition ne faisaient que du mal à une certaine époque, aujourd’hui ils apportent des sensations mêlant douleur et plaisir… Tout ce qu’adorent nos soumis. 

Très utiles pour :

• Fixer les rôles entre dominé et dominant 
• Faire peur
• Punir
• Enerver
• Exciter

Le fouet et le martinet sont devenus indispensables pour chaque maitre ou maitresse qui se respecte. 

Comment choisir son fouet ou martinet BDSM ?

Mon premier conseil est de nous faire confiance. On trouve des martinets de très mauvaises qualités dans certains sexshops, mais sur BDSM Univers, chaque pièce est sélectionnée pour sa robustesse. 

Plutôt fouet ou martinet ? 

Lorsqu’on débute, le martinet est un meilleur choix.
Bien plus facile à manipuler que le fouet, il ne réclame aucune maitrise particulière, en quelques coups, on sait comment faire rougir des fesses.
Sa multitude de lanières et son manche court permettent de donner des coups puissants mais sans trop de risques de blesser notre soumis. 

Le fouet est un accessoire qui est plus complexe à manipuler et qui réclame de l’entraînement.
Très souvent, on va l’utiliser pour impressionner, pour taper à côté du soumis. Plus il est long, plus il permet de développer de la puissance.
Sans forcer son geste, on peut faire vraiment mal. 

Bien sûr, les fouets BDSM sont généralement munis de lanières assez larges à leur bout, pour éviter les coupures, mais il faut rester vigilant.
Pour les soumis qui aiment vraiment lorsque ça claque fort, le fouet sera un véritable bonheur. 

Pour dresser un soumis 

Si votre but est de dresser, alors le fouet est idéal.

On va même privilégier un fouet bien long, et apprendre comment le faire claquer au sol. Ici le but ne sera pas de punir, on ne l’utilisera pas ou très peu pour frapper notre esclave sexuel. 

Le fouet va servir à diriger, à effrayer, pour que le soumis réalise tous les tours qu’on souhaite. Un long fouet est également un élément de décor qui en impose.
Il est plus agressif que le martinet, il renforce le sentiment de puissance du maitre et déshumanise toujours un peu plus le dominé. 

Pour des jeux coquins 

Pour quelques punitions, mais aussi quelques caresses sensuelles, les multiples lianes du martinet sont bien plus adaptées.

On peut l’utiliser de beaucoup de façons, de la plus douce à la plus brutale. Bien sûr, afin de punir une vilaine fille qui s’est mal comportée, notamment pour les jeux DDLG, le martinet est presque indispensable. 

Les matériaux et les embouts 

• Pour le fouet

La plupart des fouets BDSM sont entièrement en similicuir.
Quelques modèles plus esthétiques sont équipés d’une poignée couverte de tissu ou de manches en en plastique, en métal, en bois ou autre, mais c’est essentiellement esthétique, ça n’a pas d’utilité particulière. 

Les embouts varient d’un modèle à un autre. Pour punir le soumis, on va préférer des lanières souples au bout du fouet, qui reprennent le système du martinet. Ça va piquer, mais les risques de blessure sont très limités. 

Quelques fouets ont des paddles en embout. C’est une pièce de cuir unique. Ce sont généralement des fouets assez courts, avec une zone de frappe étendue. C’est plutôt bien pour frapper sans blesser. 

Enfin, les embouts fins, comme sur un vrai fouet de dressage, servent essentiellement à faire du bruit. Ce sont cependant de véritables armes, à ne pas mettre entre toutes les mains. Un coup de fouet long sur le dos peut déchirer la peau. 

• Pour le martinet

Là encore, c’est souvent le similicuir qui est utilisé.
Les manches tressés sont vraiment dans l’esprit BDSM, mais on peut apprécier les modèles qui sortent un peu de l’ordinaire. Quelques modèles possèdent aussi un manche gode, pour baiser et frapper le soumis avec le même objet. 

Plus les lanières sont larges, plus elles sont nombreuses et plus la frappe sera répartie. La douleur sera moindre. À l’inverse, moins il y a de lanières et plus elles sont fines, plus ça fait mal et plus il y a de risques de blessure. 

Les meilleurs martinets ont des lanières en cuir véritable. Plus lourdes et un peu plus rigides que celles en similicuir, elles claquent mieux. Le bruit est meilleur, la douleur également. 

On trouve aussi des martinets avec lanières métalliques. C’est un objet à ne pas mettre entre toutes les mains, mais un maitre expérimenté saura comment l’utiliser. 

Bien utiliser un fouet ou un martinet BDSM 

Lorsqu’on était enfant, si papi sortait le martinet, on était déjà sous le choc et on craignait la punition. C’est une sensation un peu similaire pour le soumis.
S’il voit que le maitre prend le martinet en main, alors il sait qu’il a fauté et il frémit déjà à l’idée de sentir ses fesses chauffer. 

Le fouet et le martinet sont des équipements d’ambiance, qui vont renforcer la puissance du dominant et permettre au dominé de rester à l’écoute s’il ne veut pas être puni. 

Ensuite, il va falloir apprendre à maitriser nos coups de poignet, selon les désirs ou la tolérance de nos soumis. Avec le martinet, on peut se lâcher un peu et mettre des coups de bras assez puissant, avec le fouet, il faut être beaucoup plus vigilant, le retour de force est bien plus efficace. 

Les risques 

Entre les mains d’un maitre conscient et maitrisant son outil, ni le martinet, ni le fouet ne sont dangereux. 

En revanche, si on ne sait pas manier ces objets alors il y a toujours des risques. Il ne faut évidemment pas fouetter un visage, ni les seins, ni le ventre, avec la même force que les fesses.
Le risque de blessure est bien présent. 

Les avantages et les inconvénients du martinet et du fouet 

Les avantages 

• Ils inspirent la peur et le respect du dominant. 
• Lorsqu’on sait les utiliser, on peut apporter de magnifiques sensations à nos soumis. 
• On peut aussi être très doux avec notre martinet, et ne sévir qu’à de rares occasions.
• Il y a un large choix, avec des styles différents, tout le monde trouvera son outil parfait. 

Les inconvénients 

• Mal utilisé un fouet peut être dangereux. 
• On prend l’habitude de s’en servir, mais on n’a pas le droit de l’amener au travail… Dommage…