Ballstretcher

De quoi vous donner les boules

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Le Ballstretcher est un accessoire qui permet aux hommes d’étirer la peau de leurs couilles, par la hauteur de l’objet ou par soin poids.

On l’utilise parfois pour décupler les sensations pendant l’acte, mais c’est surtout un outil esthétique pour bien allonger nos testicules, les rendre plus longues et plus pendantes. C’est clairement un signe de virilité.

Comment ça fonctionne ? Pourquoi l’utiliser et quels sont les différents Ballstretcher ? Je t’explique tout ça ! 

C’est quoi cet accessoire ? 

Ceux qui n’aiment pas les anglicismes le nomme « étireur de couilles ». C’est un sextoy en silicone, en plastique extensible ou plus souvent en acier, qui a pour but d’étirer la peau du scrotum pour obtenir de belles couilles bien grosses et pendantes. 

C’est un peu le même principe que les femmes girafes en Thaïlande, sauf qu’au lieu d’allonger le cou, on allonge les testicules.
Très simple à utiliser, il vient emprisonner le haut de la poche des testicules, pour apporter du poids et ainsi étendre cette peau particulièrement rétractile.  

Pourquoi l’utiliser ? 

Comme expliquer en introduction, la première raison est souvent esthétique. Un maitre BDSM va emprisonner le pénis de son soumis pour le rendre ridiculement petit, mais dans le même temps, il va user d’un ballstretcher sur lui, afin d’avoir des couilles aussi grosses que possible.
C’est un signe de virilité et domination. 

À l’inverse, on peut aussi l’utiliser sur un soumis pour lui apprendre à devenir un homme. Lorsqu’il arrive dans le donjon, c’est un sous homme, un ridicule avorton avec des couilles misérablement petite. Lorsqu’il repart, ses testicules ont pris du volume et il peut enfin être fier de ce qu’il est… 

Un ballstretcher assez lourd permet également de faire un effet de balancier sur les burnes, très agréable pendant qu’on pénètre quelqu’un. En tirant sur le scrotum, on provoque une sensation différente, qui peut être très appréciable. L’étireur de couilles devient alors un sextoy de plaisir. 

Comment bien choisir son ballstretcher ?

Le choix est crucial pour avoir un accessoire efficace.

Il y a tout d’abord 2 types principaux : 

• Le ballstretcher silicone ou plastique :
  Il n’est pas lourd, mais il est assez large. Une fois en place sa matière maintient de la distance entre le haut du scrotum et la poche des bourses. C’est la matière et la largeur de l’objet qui étirent la peau des couilles. 
• Le ballstrecher en acier :
  Il est plus fin, mais plus lourd. Son poids pèse sur les couilles et étire alors naturellement la peau du scrotum. Personnellement, je préfère ce type de modèle et ce sont d’ailleurs ceux-là qui se vendent le plus. On ressent mieux l’impression de grosses boules qui pendent.

Ensuite, il faut choisir le diamètre. C’est surtout vrai pour les modèles métalliques, un ballstretcher silicone est élastique et s’adapte seul à la taille de notre poche à burnes. 

Mesurer le périmètre de vos couilles

Pour choisir le bon diamètre d’un ballstrecher en acier, je vous conseille :

1. Mesurer avec une ficelle ou un lacet.
   Vous le placez autour de votre scrotum, au-dessus de vos testicules et avec un mètre ou une règle, vous notez la circonférence.
2. Diviser ensuite par 3.14 (pi) pour obtenir le diamètre. (Oui, le BDSM est une activité de matheux !) 

Attention : Certains fabricants donnent la circonférence de leur ballstrecher, d’autres donnent le diamètre, ne vous trompez pas. 

Comment bien l'utiliser ? 

Si vous avez correctement choisi votre étireur de couilles, alors sa mise en place ne devrait poser aucun problème. Pour le modèle en silicone, on l’étire avec les doigts et on l’enfile autour du scrotum. 

Pour celui en acier, il y a généralement deux parties qui se démontent, avec un système de vis ou de cadenas. On reforme donc les deux parties autour du scrotum, puis on resserre la vis ou on bloque avec le cadenas. 

Il n’y a rien de plus à faire, il fera son office tout simplement, en étirant vos couilles lorsque vous serez debout et que vous vous déplacerez. On peut le garder en place autant qu’on le souhaite, à moins qu’il soit vraiment très lourd et qu’on ressente une douleur.

Des risques ?

Il n’y a pas de risque de bloquer le sang, ni les fonctions des testicules.

À la moindre douleur, il est cependant conseillé de le retirer.

Quel prix pour un ballstretcher ? 

Globalement, le modèle de base d'un ballstretcher ne coûte pas cher, autour de 15 euros.

Ensuite, les prix peuvent grimper jusqu'à quelques dizaines d’euros pour les modèles les plus avancés. 

Notre avis ?

C’est un accessoire très simple, qui sera utile pour pimenter vos séances BDSM et pour montrer à tout le monde que vos couilles sont les plus imposantes.

Vous aurez les plus grosses testicules du quartier et en plus vos sensations seront meilleures pendant la pénétration. 

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