Nos Chapelets Anal

Vous allez aimer avoir les boules !

Ils adorent ces chapelets... et Vous ?

Envie d'en savoir plus sur les chapelets ?

Les plaisirs du sexe anal se démocratisent de plus en plus, pour mon plus grand bonheur.

Il existe toutes sortes de sextoys pour jouer avec cette zone très érogène, dont le chapelet anal qui n’est pas le plus célèbre, mais qui mérite d’être mis en lumière.

Qu’est-ce que c’est ? Pourquoi et comment bien l’utiliser ? Votre serviteur vous explique tout ça !

C’est quoi exatement ? 

Le chapelet est un objet de dévotion religieuse. À l’origine, il permet de compter les prières en égrainant ses perles.

Un jour, quelqu’un de très inspiré a décidé de se l’introduire dans le fiak et il a changé pour toujours l’histoire de l’humanité, en inventant ainsi le chapelet anal…
Bon, je prends quelques largesses avec l’histoire, mais c’est fort probable que ça ait débuté comme ça.

Un chapelet anal est un sextoys composé de billes reliées les unes aux autres. C’est un peu le grand-frère, en taille en tout cas, des boules de geishas, qui ne sont généralement composées que d’un ou deux 2 boules.

Le chapelet anal possède lui au minimum 3 boules, et peut monter jusqu’à 10 boules ou plus. Parfois elles sont toujours de la même taille, d’autres fois le diamètre augmente de façon progressive. 

Pourquoi utiliser un chapelet anal ? 

Le chapelet anal est un accessoire de préparation à la sodomie, mais c’est aussi un sextoy conçu pour donner du plaisir.

Contrairement au plug anal qui se met en place et reste à cet endroit-là avant que quelqu’un ne le retire pour s’introduire à sa place, le chapelet anal peut être utilisé pour prendre du plaisir. 

On va jouer avec le sphincter, bien plus qu’avec un plug lambda. La première bille va pénétrer, écartant l’anus sur son passage, puis il se referme directement et presque totalement, avalant ainsi la bille. Puis on va insérer la seconde, répétant le même schéma et ainsi de suite. Le plaisir vient du fait de les insérer, puis de les retirer. On sent que les muscles travaillent bien plus. 

Cette action vient stimuler efficacement les terminaisons nerveuses de l’anus. On peut se stimuler tout seul, ou bien utiliser le chapelet anal en couple.

Par exemple, mais gardez ça pour vous, ma compagne adore que je la prenne en levrette, vaginalement et que je joue en même temps avec le chapelet, ses sensations sont décuplées. Elle aime les sentir entrer en elle, mais elle adore encore plus lorsque je retire, délicatement, une par une les billes.
Il y a une légère résistance et elle pousse un petit cri de surprise à chaque bille retirée. 

Le chapelet peut, grâce à sa forme particulière, être porté plusieurs heures. Lorsqu’on est assis et qu’on bouge légèrement, il masse l’intérieur de notre cul et permet de conserver une légère dilatation interne.

On sera prêt à recevoir une sodomie.

Comment bien l’utiliser ? 

Comme pour tout sextoy, il y a une méthode à respecter afin de prendre un maximum de plaisir, tout en évitant de se blesser.

• La première règle, absolument indispensable, c’est d’utiliser du lubrifiant. Sans lubrifiant, pas de jeu anal ! L’anus ne mouille pas, alors il faut le lubrifier correctement, lui et l’objet qu’on souhaite insérer. 
• On va commencer par insérer la première bille.
  Si la taille des billes est progressive, on débute évidemment par la plus petite. Ce n’est pas un gode tout lisse, alors on doit insérer chaque bille avec délicatesse. 
• Ensuite, on va s’amuser, toujours de manière lente et délicate, a entrer 2 billes de plus, puis à en sortir 1, puis à en rentrer 3, en retirer 4, etc.
  En gros on insère et on retire, bille par bille, pour voir l’anus s’ouvrir et se refermer à chaque mouvement. 

Bien sûr, on laisse toujours la dernière bille dehors, elle sert de poignée… 

Le plaisir du chapelet, c’est de sentir une certaine forme de plénitude physique.

Plus on insère de billes et plus on a le cul bien rempli.

Ensuite le retrait de chaque bille provoque une sensation très sympa. Il y a une légère résistance des muscles qui semblent vouloir retenir la bille. Plus on se détend, plus c’est agréable. 

Il s'agit là d'une utilisation standard. Vous pouvez l'utiliser plus rapidement ou lentement en fonction de l'effet recherché.

Des sensations différentes selon les modèles 

Bien sûr, il existe différents types de chapelets.

• Certains ressemblent vraiment aux chapelets des croyants, avec des billes cela dit bien plus grosses, montée sur une ficelle en silicone très fine. 
• D’autres sont plutôt des sortes de godes où les billes sont collées les unes aux autres.  L’anus ne se referme pas complètement derrière chaque bille. Les sensations sont moins poussées, mais on peut faire des allers-retours plus rapides. 
• Ensuite, il y a évidemment le chapelet anal vibrant.
  C’est probablement le modèle le plus adapté à l’orgasme et il est très polyvalent. Les billes vibrantes sont tout aussi agréables pour le clitoris d’une femme, que la prostate d’un homme.
  On peut même l’utiliser pour masser le dos, les bras, les cuisses, de notre partenaire. 

Quelle taille de bille choisir ?

La taille des billes peut varier d’un modèle à une autre.

Les débutants et débutantes commenceront avec des billes de 0.5 cm à 2 cm maximum. 

Les experts trouveront des chapelets avec billes pouvant aller jusqu’à 5 cm de diamètre environ. 

Combien coûte un chapelet anal ? 

C’est un sextoy qui ne coûte généralement très cher. Tout dépend bien sûr du modèle, de sa taille et de ses qualités. Le chapelet le plus classique, en silicone premier prix ou en plastique, ne dépasse généralement pas les 15 €. 

Ensuite, il y a des modèles plus complets avec des billes libres à l’intérieur des boules. On les sent bouger lorsqu’on se remut. Ceux-là coûteront généralement autour de 50€. 

Enfin, les modèles électroniques vibrants peuvent dépasser les 100 €. 

Quoi qu’il en soit, c’est un sextoy particulier, qui apporte une expérience différente et qu’il faut donc avoir testé au moins une fois dans sa vie. Généralement, on adore et on le ressort régulièrement !

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